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Hervé Bouchard
Parents et amis sont invités à y assister

Hervé Bouchard
Mailloux

Renée Gagnon
Des fois que je tombe

Fabrice Bothereau
Pan-Europa

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Scènes de la vie occidentale

Alban Lefranc
Attaques sur le chemin...

Àlain Farah
Quelque chose se détache du port


Parents et amis sont invités à y assister
Hervé Bouchard

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ACCUSÉ DE RÉCEPTION
par Maxime Catellier


Paru dans Ici, semaine du 15 juin au 21 juin 2006

Hervé Bouchard nous convie à un impitoyable dîner de têtes qui n'attendent que le dessert pour tomber.

« Il y a de ces romans qui font le pont entre l'histoire et l'horreur, entre les tueries imaginaires et l'amour invincible des familles décomposées. Des romans où il faut mourir pour faire partie de la famille. Où les prêtres zozotent à cause d'une langue (de serpent ?) coupée en deux, comme autrefois Dieu avait puni Maldoror en le frappant en plein front d'un éclair. Et il n'y a pas que le comte de Lautréamont qui hante les pages de ces récits incantatoires d'Hervé Bouchard, illustre citoyen de Jonquière. On sent toutes sortes de spectres rôder sans cesse autour de nos têtes, l'un après l'autre, dans une danse magnifique de la langue, mariant avec une aisance désarmante la voix d'orphelins tapageurs vivant dans les sous-sols, celles de belles-soeurs aux manigances sordides, comptant les morts comme les coupons d'épicerie, et surtout, d'une mère manchote enfermée d'avance dans le cercueil de sa mort future.

Pour clore un tant soit peu le chapitre des influences, disons que Bouchard a distillé dans cette oeuvre le meilleur d'une foule de monstres sacrés, à commencer par Beckett, dont il emprunte le thème récurrent du handicap, mais aussi cette manière de syntaxe double, à la fois neutre et musicale : « S'ils sont sans char, ce sont des chiens, des chiens sans char dans leur maison sans horizon. » Quant à sa cruauté candide, où se mêlent les jargons fabuleux d'invention et une langue littéraire savamment triturée, on ne sait trop, de Réjean Ducharme ou de Victor-Lévy Beaulieu, à qui demander des comptes. Chose certaine, Hervé Bouchard ne s'offre pas en pâture au piège sans cesse enclenché du narrateur-enfant, puisque la multiplicité de ces voix gouleyantes, frappant à droite et à gauche tous les murs jusqu'à les faire tomber, dessine le portrait hallucinée d'une réception unique du monde, et quelles qu'en soient les racines, les feuilles qui s'offrent au bout des branches n'y ressemblent qu'à demi-mot.

Raconter, ne serait-ce qu'en essayant d'être le plus clair possible, cette tragédie de famille aux accents mythomanes relève du délire. Nous laissons le soin à Hervé Bouchard de vous présenter la Veuve Manchée, qui cueillait des framboises quand le père Beaumont expira dans son fauteuil, puis ses orphelins qui chantent, tel Orphée, dans un sous-sol où il n'y a même pas d'Eurydice à délivrer, où ils demeurent prisonniers des soeurs geôlières de leur mère manchote : « Puis nous montons pour voir l'évolution de la liste nécrologique au mur. Les noms s'ajoutent en noir sur le papier jaunissant vite. Nous y inscrivons les nôtres pour vivre en morts parmi les morts et chanter mieux. » Enfin, un roman pour toute la famille, et même les amis, à condition de savoir se prêter au jeu salissant de l'humour noir. »

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Mathieu Simard
Le libraire, juillet-août 2006

« J'ai lu Mailloux:histoires de novembre et de juin (L'Effet pourpre) en 2002. Puis j'ai attendu un autre roman d'Hervé Bouchard, citoyen de Jonquière. Le voilà. Et aussi Mailloux, réédité par Le Quartanier. L'autre est un drame sur l'exclusion ordinaire des foyers sans char dans l'entrée. On y lit les lamentations de la veuve Manchée, que la mort subite de son mari Beaumont, tandis qu'elle cueillait des framboises, a privée de bras ses six orphelins de père, dont on lira l'infinie plainte des «pourquoi» sans « parce que ». Un texte qui parlera aux amateurs d'acrobaties, pour qui un vrai écrivain sait siffler la bouche pleine de biscuits soda. Bouchard, l'un de ces oiseaux rares, permute les lettres et les sons comme un sculpteur de rêves : «J'eus pour père un homme au cou plus court que le col de sa chemise, il avait un tour de taille assez grand pour paraître en trois sur une liste de lourds. Ça lui coûta cher de trou quand on le mis dans un.» »

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Benoit Jutras
Voir, 29 juin 2006

« Hervé Bouchard nous avait déjà séduit avec son Mailloux, réédité récemment au Quartanier. Deuxième roman de cet auteur hors normes, Parents et amis sont invités à y assister campe un univers où l'enfance et sa tragédie, ses épiphanies, ont le rôle principal. Père disparu, mère envoyée en «maison de repos», les enfants se voient relégués aux bons soins de leurs tantes. L'ouvrage nous met en présence d'une prose radicale, sans concessions, s'inventant une langue à même le vernaculaire du terroir tout en la déviant de son axe jusqu'en une zone des plus chercheuses et poétiques, rappelant Beckett et consorts. Diablement nécessaire. »

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David Cantin
Le Soleil, 7 mai 2006

« Quelque part entre le poème, la fiction et le drame théâtral, le deuxième roman d'Hervé Bouchard fascine à maintes reprises. Depuis la parution de Mailloux en 2002, ce « citoyen de Jonquière » met en scène un univers familial où le drame de l'enfance joue un rôle prédominant. Avec Parents et amis sont invités à y assister, on retrouve cette parole étourdissante et inventive qui rappelle autant Samuel Beckett que Valère Novarina. À l'intérieur des quatre tableaux, on suit le périple de la famille Beaumont, qui affronte de plein fouet la mort soudaine du père. Comme le répète l'orphelin de père numéro un, « d'autres viendront habiter ici, ils abattront les murs porteurs et mettront au chemin la vie que nous avons eue ici. Ils auront la leur et tout continuera, tout finira par passer. » Une oeuvre comme il s'en écrit trop peu au Québec. »

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HERVÉ BOUCHARD, POÈTE-DRAMATURGE DE L'ENFANCE
par Christian Desmeules


Le Devoir, édition du samedi 8 et du dimanche 9 avril 2006

Le Quartanier publie un second titre de l'écrivain de Jonquière et réédite Mailloux.

« Il arrive parfois que la force du geste poétique se suffise à lui-même et que la raison, devant certaines oeuvres, doive abdiquer un peu de sa toute-puissance habituelle. Or « la parole est parlante », pour reprendre les mots de Heidegger. Et l'abîme qu'ouvre cette phrase nous rappelle aussi que les mots sont souverains, contagieux et capables de tout.

À l'heure des généralités douteuses et des escarmouches toujours un peu grotesques au sujet du caractère universel - ou non - de la littérature québécoise, il est peut-être bon d'aller voir d'un peu plus près à quoi ressemble - ou ne ressemble pas - cette littérature qui est la nôtre. La littérature est-elle un produit d'exportation ? Le théâtre, les arts visuels et la chanson sont-ils exportables ? Oui, bien entendu, il arrive que certains auteurs, certaines pièces ou certains films franchissent le mur qui sépare le particulier de l'universel. Mais il y a là souvent une part d'accident que personne ne saurait contrôler, ni les critiques, ni les artistes.

L'oeuvre singulière, cohérente et étonnamment achevée d'Hervé Bouchard, « citoyen de Jonquière », a ainsi toutes les apparences de l'accident : elle est imprévisible, soudaine, provocante. L'écrivain y construit une épopée à partir des petites guerres de l'enfance, de la découverte furtive de la sexualité, de la mort, à partir du sang et de la boue. À la fois chantre, héros et calomniateur d'un univers inédit, Hervé Bouchard « mythologise » en direct, pour ainsi dire, son coin de pays et ses souvenirs plats. C'est dire toute la force de sa voix, qui arrive à créer du même souffle un langage et un monde.

Professeur de lettres au Cégep de Chicoutimi, Hervé Bouchard déploie depuis Mailloux - Histoires de novembre et de juin, son premier livre d'abord paru à L'Effet pourpre en 2002, ses histoires d'enfance, vues sans lunettes roses ou le filtre surréaliste coutumier. Le récit de Jacques Mailloux, « fils pissou », s'ouvre sur cette phrase forte : « J'ai été Jacques Mailloux, comédien de naissance, enfant sans drame, dehors tout le temps. »

Petit éditeur ayant pignon sur rue à Montréal, Le Quartanier accueille Hervé Bouchard et réédite ces aventures épiques d'une enfance québécoise ordinaire, dont voici parmi d'autres un exemple de la prose étonnante :

« Parfois pressé on n'avance pas. On est Jacques Mailloux bloqué dans le proute, dans l'empêchement qui est. Je voulais souvent partir jouer. D'aussi loin que je me rappelle j'ai toujours voulu partir. À vélo par exemple avec les amis du nombre que j'avais. Et alors Mailloux père m'exigeait la présence pour l'aider à une réparation électrique d'embrouillamini mal foutu de fils à démêler... »

Entre la veuve et les six orphelins

On a déjà rapproché sa démarche, avec justesse, de celle du poète et dramaturge français Valère Novarina - lui qui écrivait : « La langue française était mon professeur d'inconnu. » À l'oeuvre de Beckett également, que citait d'ailleurs Hervé Bouchard en exergue de Mailloux. Sa géographie inédite, traversée de planchers mous et de ciels incertains, pourra par moments, il est vrai, rappeler celle de l'auteur de Molloy. Voilà à quelles sources d'exigence puise aussi sa « dramaturgie poétique ».

Son second titre, Parents et amis sont invités à y assister, continue de creuser ce sillon fertile, et ce « drame en quatre tableaux et six récits au centre » ne ressemble lui non plus à rien de connu. Après la mort de leur père Beaumont, concierge d'école et buveur de « tout ce qu'il y a dans des sacs bruns qu'on froisse au goulot », six frères et une veuve éplorée essaient de se ressaisir. Comme le dit l'orphelin de père numéro deux : « Nous n'avons pas de souvenirs, nous n'avons rien oublié, nous sommes la mort du père Beaumont, notre futur est tracé en gras dans la broussaille où nous irons. » Et les histoires d'Hervé Bouchard se résument mal, puisqu'elles sont tout à la fois récits, images et sensations.

Entre les six orphelins de père, leur « Mère Manchée » et quelques personnages satellites s'installe tout de suite une polyphonie théâtrale qui sonne et qui déstabilise : « Si elle est manchée, c'est qu'on ne voit pas ses bras, c'est qu'elle manque de sous, c'est qu'elle parle à travers un tube, c'est que ses bras qu'on ne voit pas sont quand même des bras de mère, c'est qu'elle a de quoi tenir, c'est qu'elle ne sait pas trop, c'est qu'elle n'est pas très vite, c'est qu'il faut la couper, c'est qu'elle est plutôt tendue. »

« Parfois je pense qu'on a moins de place parce qu'on a moins de mots, raconte en tremblant la mère des six orphelins. Mon mari Beaumont ça lui arrivait de parler, il était capable. Il était capable de dire les choses d'alentour et de les faire bouger avec son air d'aimer les déplacer en les décrivant. Nous étions à l'étroit, mais il ouvrait la bouche et nous emmenait avec lui où on manquait pas d'air et où on se cognait nulle part. [...] Dans ce qu'il disait, il y avait toujours des lacs et des horizons ouverts, des heures de marche et des bonheurs à s'étendre serrés l'un contre l'autre. »

« On ne saura jamais parler aux hommes », dit aussi l'un des orphelins. Le père parti en fumée, la mère internée dans sa folie, livrés à eux-mêmes et aux attentions maladroites de leurs tantes, les frères se dispersent. Puis lumière.

Recherche et développement

On mesure souvent mal l'effort titanesque qui consiste à poser une grille de lecture poétique sur le réel. Hervé Bouchard y parvient avec beaucoup de force, tout d'un bloc, avec ces deux livres aux images riches. Cette parole est à lui, et ce monde lui appartient en propre. La raison pourrait aussi s'épuiser à tenter de décrypter tous les sens de cette fascinante parole archaïque. Hervé Bouchard semble former à lui seul toute une aile de « recherche et développement » dans l'édifice de la création littéraire québécoise.

Et il ne faudrait surtout pas oublier, par ailleurs, de souligner le remarquable travail d'édition d'Éric de Larochellière et Christian Larouche. Graphisme soigné, typographie originale, papier ivoire : l'objet suscite l'admiration de tout véritable amateur de livres.

Et puisque les ouvrages du Quartanier - qui édite aussi une magnifique revue de poésie, de fiction et d'écritures qui paraît trois fois l'an - n'ont étrangement pas su trouver de distributeurs, sans doute vous faudra-t-il insister un peu auprès de votre libraire pour vous procurer leurs livres. Alors insistez.

Que son oeuvre « parle » ou non à la France, qu'elle se refuse peut-être au plus grand nombre - de par sa nature sans doute plus exigeante -, la langue d'Hervé Bouchard, pour reprendre la formule de Rimbaud dans la seconde Lettre du Voyant, « est de l'âme pour l'âme, résumant tout : parfums, sons, couleurs, de la pensée accrochant la pensée et tirant ». C'est le terroir qui s'accouple avec l'avant-garde et qui lui « fait un petit » dans le dos. Avec quelque chose de bâtard et de joyeusement transgressif, Hervé Bouchard renverse par la puissance de sa voix. À lire ou à goûter, comme bon vous semble. »

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HERVÉ BOUCHARD EST UN VÉRITABLE MAGICIEN
par Yvon Paré


Le Quotidien, 11 mai 2006

« Je rêve de voir Parents et amis sont invités à y assister d'Hervé Bouchard sur scène. Il faudrait peut-être demander à Loco Locass d'incarner ce délire verbal et halluciné. Je rêve de m'enfoncer dans ce texte immense et échevelé, ce chant polyphonique qui désarçonne pour vivre une émotion pure.
Je me calme. Je reprends mon souffle! Parce que plonger dans un texte d'Hervé Bouchard, citoyen de Jonquière, peut être une aventure. « Toutes les chaises sont identiques et pourtant, pas une qui soit à la même place. » Il nous bousculait tout autant dans Mailloux, sa première histoire. « J'ai été Jacques Mailloux, comédien de naissance, enfant sans drame, dehors tout le temps. »

Je me rebiffe souvent devant les écrivains qui étouffent dans les habits de la langue française. Le français a tellement de détours et de subtilités, il me semble, que la littérature n'a guère besoin de « patenteux de langages ». Hervé Bouchard a vite fait de m'attraper. « Aussi la veuve Manchée porte-t-elle une robe de graisse jusqu'aux genoux. » Comment résister? Peu importe les personnages ou l'histoire, Hervé Bouchard échiffe la langue et la réinvente dans un souffle coriace comme du chiendent.

Les références

Dans Parents et amis sont invités à y assister, Bouchard présente une famille d'orphelins d'Arvida. Les références géographiques sont toujours importantes chez lui. Comme si l'écrivain avait besoin d'assurer son contact avec le sol avant de lancer sa complainte. Le père meurt, la mère se retrouve en institution et les tantes innombrables s'occupent des enfants. Les narrateurs sont peut-être des idiots, des attardés de la langue ou des adultes qui oublient de grandir. Mais laissons la raison raisonnante et basculons dans ce chant insolite.

« Elles descendirent et tout alentour était vrai : l'usine au large de leur regard dans un voile de fumée qui sentait, la poussière en gris pâle, l'asphalte conjugué en mou, les poteaux gros de créosote, les murs en brique teintée en trente, les escaliers premiers du nom, des corneilles bleues, des moineaux à motifs et des fils de corde et des fils de fils maintenant tout au sol dans la musique qu'il faut, des érables à hélices, des saules en phase brune, des peupliers prêts à neiger, des ormes à bras, des sorbiers portant grappes, des pommetiers en pleurs, des cerisiers à romances, des terre-pleins à ras bords... » (p. 84)

Nous nous enfonçons dans les strates du langage et l'auteur nous emberlificote dans une pâte onctueuse. Un texte qui s'entend fort bien. Il faut voir Hervé Bouchard sur scène, endossant ses textes. Je l'ai écouté plusieurs fois, à Québec comme à Jonquière. À chaque fois il réussit à nous égarer dans sa jungle textuelle et sa transe chamanique.

Cette suite scandée, à la manière d'un rap sauvage, envoûte rapidement. Pas de dialogues, malgré la forme théâtrale, mais un croisement de monologues. Une écriture de paroxysme, des trouvailles et des émotions qui vous laissent le motton dans la gorge.

Texte sauvage

Il faut revenir encore et encore sur les phrases de Bouchard pour en goûter la texture et l'inventivité. Je songe à la beauté touffue des lettres de la mère Manchée à ses enfants et à la réplique des fils. À couper le souffle! Ou encore cette véritable litanie autour de Lazare, le ressuscité. Un pur bonheur!

«Levez-vous et frémissez, frémissez, mes amis, car la résurrection du Lazare n'est pas un conte innocent sur lequel on se repose avant d'ensevelir notre frère là. Écoutez-le, lui, qui parle dans sa boîte en peuplier avant son heure, et préparez-vous à fuir. » (p. 200)

Un blues qui ne laisse pas de répit. C'est dense, dur, chaque récitatif est écrit à la pointe du diamant. Une forme d'exorcisme qui passe par tous les replis de la vie et de la mort. Tout est là ! Du plus cru à la trouvaille poétique qui s'invente des chemins de traverse.

Une souffrance terrible marque les écrits d'Hervé Bouchard. Elle n'est pas sans rappeler Samuel Beckett qu'il ne manque jamais d'évoquer comme l'un de ses maîtres. Une douleur d'être malgré les rires qui peuvent éclater. Ce « citoyen de Jonquière à carnet » est vraiment plein de ressources. »

 





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